INFOS GENERALES SUR LE BOXER
et aussi quelques infos en vrac: Délégation Languedoc-Roussillon du B.C.F. A propos des puces électroniques.... protocole de dépistage de la S.S.A. Certificat de sociabilité et d'aptitude a l'utilisation
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L'AG du boxer-club s'est déroulée il y a quelque jours, j'espère que le club va évoluer vers plus de clarté envers ses adhérents et va recentrer ses objectifs dans l'intérêt des chiens.
Pour la coupe des queues,
c'est un sujet d'actualité puisque une loi visant à l'interdire doit
passer dans l'été devant le parlement. J'ai fait couper les queues des
2 chiennes car je trouve plus esthétique et très pratique. C'est un
acte indolore et non traumatisant pour le chiot. Certain disent
que cela nuit au niveau des relations comportementales entre chiens, je
n'en crois rien si elle n'est pas coupée trop courte: pourquoi le boxer aurai des problèmes de comportement
avec ses congénères et pas les chiens de chasse à queue courte
(ex: braques)?
Pour les oreilles, je ne les
leur fait pas couper même si je trouve plus esthétique les boxers à
oreilles droites, le traumatisme et le suivi peut être conséquent.
COMMENTAIRE:
La parution de ce
projet a soulevé de vives et nombreuses réactions dans les milieux
concernés. Si le texte renferme des innovations intéressantes,
d’autres paraissent contraires aux principes de liberté et d’égalité
de tous. Premièrement il paraît inadmissible que les éleveurs
qui ont payé leur affixe et se sont engagés à ne produire que des
animaux inscrits au livre des origines français puissent se voir
interdits de l’utiliser. Pensez vous que les "petits éleveurs"
ou éleveurs amateurs et/ou familiaux doivent disparaître alors que
leur production quoique limitée est synonyme de qualité? De plus
le suivi de la généalogie d'un chien sera d'autant plus compliqué.
Je ne crois pas
à l'élitisme pur et dur qui fera la part belle aux marchands
d'animaux; les éleveurs certifiés seront marginalisés.
Il semble aussi extrêmement dangereux de confier la certification des reproducteurs, et donc l’emploi de l’affixe, aux associations de race en sachant qu’une seule association par race ou groupe de races pourrait être agréée par la fédération nationale. C’est oublier que de nombreuses associations cynophiles sont actuellement entachées par les querelles dues aux abus de pouvoir et aux décisions arbitraires de certains dirigeants et leurs comités. C'est la cas du B.C.F. Une certification est une affaire sérieuse et devrait être gérée par un organisme extérieur comme cela est le cas pour de nombreuses productions animales. De plus, nulle part dans ce décret il n’est fait mention de la représentativité et de la compétence des membres des comités des associations. Actuellement les professionnels en sont tenus à l’écart et la participation obligatoire d’un technicien, vétérinaire ou généticien n’est pas non plus à l’ordre du jour. extraits d'une autre pétition envoyée au ministre ; vos réactions dmourrut@infonie.fr AUTRES COMMENTAIRES: Le projet de décret relatif à la tenue des livres généalogiques pour les espèces canines et félines ne semble pas provoquer de grands remous. A peine lit-on à droite et à gauche quelques réactions n’allant d’ailleurs pas toujours dans le même sens. La cynophilie est un monde éparpillé et il est dommage que les personnes concernées par ce décret n’essaient pas de se regrouper pour réagir et faire des propositions au Ministère de l’Agriculture. Nous sommes quelques éleveurs de chiens à mener une réflexion et nous nous inquiétons de ce que nous réserve l’application d’un tel projet pour lequel aucune concertation n’a été semble-t-il entreprise.
Déjà, soulignons les points positifs pour l’élevage. Nous reconnaissons que la confirmation n’est plus qu’une mascarade, les experts confirmateurs ayant pour consigne de confirmer le plus grand nombre de chiens, ce qui peut se comprendre étant donné le peu d’animaux définitivement inscrits au LOF dans notre pays. On constate en effet que dans les pays les plus proches, le pourcentage de chiots inscrits à un livre des origines par rapport aux chiots dits « sans papiers » est plus important qu’en France où il se situe aux environs de 15%. C’est à dire que chaque année 85% des chiots nés ne peuvent pas être reconnus « de race » ! De plus seuls 30 à 40% de ces 15% seront présentés à la confirmation. La perte de chiens éventuellement intéressants pour l’élevage LOF est énorme. Par ailleurs la population des chiens français n’a pas fait la preuve de sa supériorité en ce qui concerne l’incidence des défauts de morphologie ou des tares visibles, anomalies de l’articulé des mâchoires, monorchidie, cryptorchidie par exemple, dont la transmission héréditaire n’est pas clairement prouvée. La confirmation laissait par contre passer toutes les tares non visibles, dont l’hérédité est démontrée ou fortement suspectée pour certaines, comme les tares oculaires, les dysplasies, des troubles cardiaques, etc ! La confirmation n’a jamais été une preuve de qualité. La suppression de la confirmation va permettre la naissance d’un plus grand nombre de chiens avec pedigree. Un plus grand nombre de chiens sera donc « traçable », on pourra savoir d’où ils viennent, qui sont leurs ascendants, n’est-ce pas un avantage quand on élève ? Bien sûr comme pour tout, il y aura une différence entre les animaux destinés à la compagnie et ceux nés pour travailler ou se montrer sur les rings. Mais cette différence n’existe t-elle pas déjà ? De tous temps l’exigence des acheteurs fait la loi, certains en ont peu, d’autres se renseignent et ont des demandes précises. L’éleveur qui vend des chiots en mauvaise santé et mal sociabilisés devra assez rapidement répondre de ses actes car les clients se laissent de moins en moins faire. Celui qui mise sur la qualité pourra le prouver et expliquera ses efforts aux futurs propriétaires. En temps de crise, la production qualitative est toujours celle qui « tient » le plus longtemps. De plus la commission scientifique et technique prévue par le projet aurait aussi pour rôle de demander le retrait des reproducteurs porteurs de tare invalidante et nous l’espérons de défauts graves, ce qui évitera l’apparition de lignées de boxer blanc ou de berger allemand à poil long. Parmi les chiots destinés à la compagnie, certains pourraient un jour devenir intéressants pour la sélection. Imaginons que les éleveurs d’une même race aient utilisé abusivement un étalon. Si celui-ci s’avère porteur d’une tare héréditaire apparaissant tardivement et non détectable avant, il aura pu la transmettre à la plupart des lignées de chiens sélectionnés pour l’exposition. Cela s’est déjà vu, que la race ait un grand ou un petit effectif, ne l’oublions pas. Quel avantage ce sera de pouvoir effectuer une recherche dans d’autres lignées LOF peut-être moins homogènes et moins performantes mais saines ?
Deuxièmement nous remarquons dans ce décret que l’autorisation d’utiliser ou non son affixe sera indirectement accordée par le club de race. En effet, les clubs pourront certifier les reproducteurs en demandant un examen morphologique, un test de caractère et d’aptitudes naturelles pour les races soumises au travail ainsi que la preuve que le chien n’est pas atteint par une ou plusieurs des tares héréditaires identifiées dans la race. Seuls les reproducteurs certifiés pourront donner naissance à une portée avec affixe. Ce système part d’un bon principe pour inciter à améliorer la qualité de notre production et pour faire reconnaître aux acheteurs potentiels les critères leur permettant de distinguer l’éleveur sélectionneur de l’éleveur « multiplicateur » Simplement nous nous alarmons quand aux conséquences de la mise en place d’un tel système. Tout d’abord nous avons acheté notre affixe en nous engageant à respecter certaines conditions évidentes, Il appartient en retour aux instances qui ont vendu cet affixe d’en faire respecter l’application. Cet affixe identifie tous les chiots nés chez nous, c’est un point de repère incontournable, nous y tenons affectivement même. Peut-on envisager de ne plus pouvoir l’utiliser librement ? Ce qui nous inquiète aussi, c’est le fait de confier la détermination des différents critères aux associations de race. Soyons francs, actuellement dans combien de clubs de race règne t-il un vrai climat de non-discrimination ? Dans combien de clubs ne parle t-on jamais d’abus de pouvoir, d’irrégularités de procédure, de conflits qui ne débouchent sur rien ? La cynophilie ne se porte pas très bien, il nous faut le reconnaître. Pourtant les volontés et les passions existent, peut-être sont-elles trop exacerbées ? De plus combien de comités comportent-ils ou font-ils appel à une personne réellement compétente en génétique et à une autre en comportement du chien ? Et puis nos comités ne sont pas ouverts à tous, ils ne sont pas vraiment représentatifs, les professionnels de la pension en sont exclus, ils font souvent de l’élevage pourtant. Pourquoi cet acharnement contre les professionnels ? C’est comme partout et comme chez les particuliers, il y en a des bons et des mauvais, et encore cela dépend par rapport à quel critère on se place. Chacun doit pouvoir faire entendre sa voix. Demander une vraie représentativité et la présence de techniciens, généticiens, vétérinaire et comportementaliste pourrait faire partie d’un cahier des charges. D’ailleurs le Ministère veut imposer un cahier des charges aux associations canines régionales mais pas aux associations de race! Pourquoi ? Il nous paraît dangereux de confier à nos comités actuels la gestion des affixes. On peut redouter de véritables mises à l’écart d’éleveurs sérieux pour de simples divergences d’idées. Ce système favorise une production de moindre qualité car les éleveurs marginalisés vont produire des chiens moins « traçables » car sans affixe ou simplement se décourager. Est-ce acceptable ? L’augmentation des contraintes pour que les chiots portent un affixe risque aussi de dissuader un grand nombre d’éleveurs de s’y soumettre. D’autant plus que les chiots issus de reproducteurs certifiés devraient être vendus plus chers sans pour autant qu’ils soient garantis en tant que « non porteurs » de tares héréditaires. La démonstration du bénéfice de la certification sera délicate à apporter aux futurs acheteurs. De nombreux éleveurs ne s’engageront pas dans ce système, méritent-ils pour autant de perdre leur affixe ? Si les exigences concernant la sociabilité et la salubrité des reproducteurs sont un minimum, comment seront gérées les critères de morphologie et d’aptitudes au travail ? Imaginons une sélection basée sur la beauté. Si le chien est capable d’être un très joli chien de compagnie, équilibré, ni agressif, ni peureux, indemne de tares héréditaires pour autant qu’on puisse le savoir… Le système imaginé aujourd’hui par la certification, verra la descendance de ce chien privée d’affixe si ce dernier a par exemple échoué à son « test d’aptitudes naturelles »(TAN) Pourtant l’aptitude au travail comporte souvent une réactivité supérieure du chien que tous les futurs propriétaires ne sont pas capables de gérer. Ces acheteurs là, c’est à dire 90% des acheteurs, devront-ils se contenter de chiots sans affixe ? Idem pour un éleveur de lignée de travail : si ses étalons et ses lices ne sont pas vraiment performants en ce qui concerne la conformité au standard, il risque de se voir refuser l’emploi de l’affixe. La génétique nous le dit, il est impossible de sélectionner intensivement et efficacement sur plusieurs types de caractères. S’il est, par contre, possible et souhaitable de rechercher le plus souvent le meilleur équilibre, la recherche de la performance oblige souvent à moins porter d’attention à certains critères tels que la morphologie ou l’aptitude au travail selon l’orientation de l’éleveur. Il serait dommage de niveler une race et de n’obtenir plus que des sujets « moyens » Enfin, comment les sélectionneurs feront-ils la différence entre deux chiennes appelées Tara mais nées sans affixe ? La lecture des généalogies sera impossible et comment le faire comprendre aux pays étrangers ? D’ailleurs pourquoi aurions-nous un régime différent ? Pourquoi ne pas, dès à présent, s’aligner sur des règlements cohérents qui existent déjà dans la Communauté Européenne, ou engager une évolution de ceux qui ne nous donneraient pas entière satisfaction. Les pays européens devraient se donner les moyens d'harmoniser leurs cynophilies. Pourquoi ne pas laisser l’attribution de l’affixe à tous ceux qui le demandent (et qui d’ailleurs l’achètent) à condition qu’ils respectent certains engagements comme dans tous les pays, et indiquer sur le pedigree si le chien est certifié ou pas, la certification étant basée sur des critères le plus objectifs possibles, sévères notamment en ce qui concerne la sociabilité et la santé. Encore mieux, pourquoi ne pas créer un organisme indépendant de certification qui aurait l’avantage d’être neutre ? Aujourd’hui le système de certification s’appuyant sur de multiples critères de normes ISO, permet à nombres d’entreprises nationales d’obtenir un « passeport » européen voire international. Tout professionnel, toute entreprise aspire à obtenir cette certification. Depuis la loi du 6 janvier 1999, force a été de reconnaître la disparition de l’éleveur amateur et de l’éleveur professionnel au profit de l’éleveur tout simplement. Cette profession mérite aujourd’hui l’accès à une certification qui lui permettra de faire reconnaître son travail, de valider ses compétences, de se former, de répondre aux attentes diverses et de pouvoir aussi se tourner vers un organisme compétent. Quelles pourraient être les bases de la constitution de cet organisme et à quelles attentes fondées pourrait il répondre ?
De véritables états généraux du monde canin.
Tout ceci n’étant que des pistes et des suggestions.
Il deviendrait dès lors possible de faire une réelle promotion des animaux certifiés. Libre alors aux associations de race de garder dans les grilles de cotation des exigences sur les aptitudes au travail prenant en compte toutes les spécificités des chiens d’une même race.
Le décret prévoit une commission scientifique et technique sensée éviter les débordements. L’idée est intéressante mais étant donné le nombre d’ « affaires » plus ou moins lourdes qui sont en cours, qui tardent à trouver une conclusion quand elles en trouvent une, nous pensons que deux réunions par an seraient très insuffisantes. Surtout si elle peut retirer de la reproduction un chien dont il est prouvé qu’il a transmis une maladie héréditaire grave.
Ou alors, pour diminuer le nombre de ces discordes on peut laisser la possibilité à plusieurs associations pour une même race de coexister comme cela fonctionne dans plusieurs pays. Les associations répondraient à un cahier des charges et seraient regroupées par une fédération. La mise en concurrence inciterait chaque club à améliorer ses performances et maintiendrait un minimum d’hétérogénéité au sein d’une race, condition nécessaire à son évolution grâce à une bonne variabilité génétique. Une telle émulation permettrait une réelle capacité à la sélection, avec pour chacun le devoir de prouver le travail effectif réalisé. Il pourrait même être envisagé aussi pour les clubs de races une certification qui serait remise en compte périodiquement afin de juger de leurs compétences et de la légitimité de leur existence.
Ces quelques propositions ont pour objectif de rallier les éleveurs et les autres personnes concernées afin de tenter de faire modifier quelques points de ce projet crucial pour l’avenir de la cynophilie. Nous espérons que le Ministère de l’Agriculture nous entendra et tiendra réellement compte de nos demandes de modifications.
Véronique RIVOIRE Françoise MARTIN Sylvia PONS
Délegation Languedoc-Roussillon du B.C.F.
Jacqueline
TALERCIO Le BOXER: collection dirigée par le Dr Joël DEHASSE, vétérinaire Edition le jour Le Boxer: par Jean-Claude MARIET, éleveur, affixe "des Grands Fonds des Abymes" à commander par atout chien P.B. EDITIONS LE BOXER: par Philippe de Wailly et Christel Rollinat, collection " Nos amis les animaux", édition SOLAR L'EDUCATION DU CHIEN: par le Dr Joël DEHASSE, vétérinaire lejour, Editeur. "A LIRE AVANT LE CHOIX DU CHIEN ET PENDANT TOUT SON DEVELOPPEMENT". 50 soins de première URGENCE pour SECOURIR mon chien, Les chats de hasard, récit d'Anny Duperey , Editions du Seuil; pour le plaisir de la lire. QUELQUES BONNES ADRESSES EN CERDAGNE ET AILLEURS: Club de travail et d'éducation canine à Estavar (66): Monsieur Onésim Gomez i Lombardo Ensinistrador Professional Titulat per la Généralitat Catalana Eleveur de dobermanns de la Muga Tél: (00 34) 972 88 20 20
Bureau de tabac chez Francis, à Odeillo (66), un amoureux des boxers.
OBJECTIF PHOTOS ,Gilles Fillot pour son reportage photo lors de la 4éme Manifestation Canine de FORMIGUERES
si les photos de notre région vous plaisent visitez les sites suivants Les villages de Cerdagne-Capcir La Cerdagne (Randonnées dans les Pyrénées catalanes) Accueil Pyrénées-Orientales Guide Balades Nature
LOIS ANTI-CHIENS Lire le jugement complet rendu par la Cours Européenne de Justice de Genève à l'encontre de l'Allemagne dans le Bulletin Boxer n°36 de l'I.C.E ET DANS LE MAGAZINE TOP-DOGS n°24 Aux Présidents des Clubs de Races Chère Madame, Cher Monsieur,
Je pense que vous êtes déjà au courant de la situation en Allemagne où plusieurs races sont menacées d’interdiction et où de nombreuses autres se voient imposer la muselière et la laisse dans tous les lieux publics. L’Allemagne veut étendre ses Lois Anti-chiens au niveau de l’Europe et c’est ce qui va arriver si personne ne fait rien!Seize races sont menacées d’une interdiction totale, les chiens existants dans ces races seront stérilisés et devront passer un test de caractère avec euthanasie à la clé s’ils échouent! La muselière et la laisse seront obligatoires pour les chiens de plus de 20 kg et plus de 40 cm au garrot avec également test de caractère si le chien montre la moindre agressivité envers les animaux (même poursuite de gibier) ou envers les personnes, avec bien sûr la mortelle piqûre s’ils échouent! La France s’est dotée d’une Loi anti-chiens (loi du 6 Janvier 1999), loi qui frappe les honnêtes propriétaires de chiens etlaisse les délinquants continuer leur inadmissible exploitation de ces pauvres bêtes! Pour l’instant un nombre restreint de races est touché, mais un décret peut étendre les restriction à nombre d’autres raceset c’est ce qui est projeté quoi qu’on vous en dise! Avoir son chien en 2ème catégorie, ce n’est pas seulement une simple déclaration en mairie et le port de la laisse et de la muselière, c’est aussi se faire résilier son assurance avec devoir d’en trouver une à des prix prohibitifs, c’est le risque de perdre son logement, c’est l’impossibilité de faire transporter son chien par Air France par exemple... Une 3ème menace arrive d’Outre Atlantique, on veut y interdire les hybrides de loup (tous les nordiques), dans certaines régions du Canada on veut même inclure les Shetlands "parce qu’ils marchent comme des loups”, il y a fort à parier que ces propositions arrivent à brève échéance en France! Contre l’extension des lois Allemandes à l’Europe et contre toutes les lois anti-chiens. Par la présente je vous invite ainsi que les adhérents de votre Club à rester vigilants
Amitiés cynophiles.
Pierre-Louis PETIT La Maison d'Allon 45450Donnery A PROPOS DES PUCES ELECTRONIQUESDES PUCES ELECTRONIQUES A L’ASSAUT DE NOS CHIENS DES OCTOBRE 2001
1 Pourquoi une puce électronique ? Le traditionnel tatouage pratiqué à l’intérieur de l’oreille ou de la cuisse de votre chien lui procure une identité propre. Il permet également de combattre toute fraude en cas de transaction ou de vol. De plus, la carte de tatouage délivrée par la SCC est le “papier qui identifie le maître comme seul propriétaire de l’animal. Mais le service de la SCC dépasse la simple identification :son fichier central canin permet en outre de rechercher et retrouver son animal le cas échéant. Alors pourquoi une puce électronique de quelques millimètres? Ce nouveau procédé permet d’enregistrer plus d’informations qu’un tatouage classique. En outre, domine la puce se pose sous la peau, elle est invisible alors que le tatouage est facilement repérable et falsifiable. Revers de la médaille du modernisme de la puce :il faut un lecteur électronique pour lire les informations.., et pour l’instant on en trouve pas au coin de la rue 2 COMMENT FONCTIONNE-T-ELLE ? La puce électronique est en quelque sorte la mémoire virtuelle de votre chien. Elle contient un numéro de 15 chiffres, dont
La puce électronique ne peut-être lue que par un lecteur codifié à la norme Européenne 150 11784. De fait, tout Européen muni de ce lecteur peut identifier l’animal. Bon à savoir : il est tout à fait possible d’y ajouter le numéro de tatouage de l’animal si sa lecture à l’oeil nu est difficile voire impossible; cela vous confère une double sécurité. 3/ QUI LA POSE ? Alors que le tatouage peut-être pratiqué par des tatoueurs agrées par la SOC, l’injection sous la peau du chien relève de l’acte médical vétérinaire. Bref, seul un praticien en blouse blanche est habilité à intervenir. 4/ DE QUELLE MANIERE ? L’injection sous la peau d’une puce électronique est indolore mais selon les chiens elle peut se faire sous anesthésie générale. 5/ OU LA PUCE EST-ELLE POSEE ? Une puce électronique ne pend pas au collier du chien ! En fait, il l’a dans la peau ! Plus précisémment à la gauche de son cou. Mais comment cette petite merveille de technologie de quelques millimètres, ne risque-t-elle pas de quitter sa place initiale pour se balader un peu partout sous l’épiderme du chien. Non, réponds le choeur des fabricants. 6/ QUI FAIT QUOI ? SNVEL: Syndicat national des vétérinaires d’exercice libéral doit gérer le suivi d’identification par puce électronique réalisé par ses praticiens. Le syndicat est le seul habilité à éditer les cartes d’identifications à transmettre les puces électroniques aux vétérinaires. LA SCC conserve le fichier central canin. Elle seule a la responsabilité technique du nouveau fichier d’identification par puce électronique parallèlement au fichier dit par tatouage. 7/ EN PRATIQUE... Reste à connaître le coût de l’ensemble du processus (puce et acte du vétérinaire).. .On sera vite fixé. En ce qui concerne le lecteur indispensable pour l’utilisateur final (rappelons-le... ) les fabricants prévoient d’équiper:
Certes, mais qu’en est-il du cas (très courant) du simple particulier qui recueille un chien et l’identifie par simple lecture de son tatouage?
ARTICLE 2 DU JOURNAL OFFICIEL : Le marquage par l’attribution d’un numéro d’identification exclusif sur l’animal peut être effectué soit par tatouage, soit par implantation d’un insert à enrobage contenant un transpondeur. ARTICLE 15 DU JOURNAL OFFICIEL Lors de cession d’un carnivore domestique identifié par radio fréquence, en application de l’article 6 du Décret du 28 Aout 1991 susvisé, le vendeur ou le donateur est tenu de délivrer au nouveau propriétaire, à la livraison d’un animal identifié par radiofréquence, la partie A de la carte d’identification, telle que définie à l’article 10 du présent arrêté attestant l’identification dudit animal et d’adresser au responsable du fichier national d’identification de l’espèce concernée (SCC pour les chiens, SNVEL pour les autres carnivores domestiques), la partie B de cette même carte dûment remplie et signée par le cédant.Le responsable du fichier national d’identification de l’espèce concernée expédie, dans un délai de huit jours, au propriétaire de l’animal une nouvelle carte d’identification, telle que définie à l’article 10 , comportant les renseignements vis-à—vis du nouveau propriétaire et toujours le même numéro d’identification de l’animal.
CERTIFICAT DE SOCIABILITE ET D'APTITUDE A L'UTILISATION:
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